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La Planche Qui Grince
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24 février 2015

How to deal with a worker in your house

-Hier, je m'étonnais de ne plus trouver un petit sac en papier que depuis quelques temps j'avais l'habitude d'utiliser lorsque je n'avais que des petites choses à transporter. En soi, il n'avait rien d'extraordinaire ce sac. Mais j'y tenais. Notamment parce qu'il venait du magasin North Face de San Francisco (il y a des trucs comme ça, quand ça vient de loin, ça a plus de valeur. Regardez, moi.). C'était très chic pour aller acheter quatre yaourts à l'Intermarché du coin. Bon, ce n'était très chic que pour moi, mais c'est ça qui compte.

Et là il y a cinq minutes, horreur, je m'aperçois que mon père l'a utilisé (en le désossant, comme un sauvageon) pour poser pots de peintures, pinceaux et autres cochonneries. Le bougre n'avait visiblement aucune idée de ce qu'il faisait!


C'est ça le choc des valeurs. Laissez seul un ouvrier chez un intellectuel, et il vous retourne l'appartement aussi sûrement que mes cousins retournaient mon "Fort Randall" Playmobil à chacune de leurs visites au milieu des années 80.


Je commence à me demander si j'ai bien fait de lui acheter un Bushmills 16 ans d'âge pour le remercier de son travail. Deux litres de Sir Pitterson auraient peut-être suffit.

DSC09722Par ailleurs...
-Il faudrait quand même que les religieux me disent ce que leur religion leur apporte de positif, parce que des mecs qui crient à la polémique toutes les cinq minutes, ça ne ressemble pas franchement à des mecs sereins et épanouis. Et leur religion apparaît pour le coup plus comme étant une préoccupation plutôt qu'un vecteur de bien-être.
On dirait des femmes battues.

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