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La Planche Qui Grince

Derniers commentaires
30 juin 2022

Start one, bench one, cut one, trade one

Le post suivant s'inspire d'un truc qu'on s'amuse à faire à propos de joueurs de basket: on s'imagine avoir 3 (ou 4) joueurs exceptionnels pour le même poste, et il s'agit d'en titulariser un, d'en mettre un sur le banc, d'en virer un, et éventuellement d'en transférer un.
Bon bah là je n'ai pas pris des joueurs de basket, mais des actrices.

Alors voilà, imaginons que je suis une sorte de General Manager de l'amour et que je me retrouve avec Margot Robbie, Alicia Vikander, Ana de Armas et Lily James sur les bras, qu'est-ce que je fais?! Sachant que quoi qu'il arrive je n'ai pas l'intention de jouer au basket avec elles hein!

Et bien moi je titularise Lily James (ici -floue- dans "Yesterday"). Un fond de jeu simple et solide, sans fioritures. Rassurant pour le coach et les coéquipiers.

lily james yesterdayEn sortie de banc, quand t'as besoin de scoring avec la second unit, j'envoie Margot Robbie foutre le feu dans les défenses (à la Jamal Crawford ou Jordan Poole). Avec une forte chance que ça devienne le chouchou du public également.

margot robbieMalheureusement, c'est un business, et cette fois-ci je vais devoir me séparer de Ana de Armas malgré de bonnes prestations durant le training camp. Mais je n'ai pas de place dans l'effectif. Elle devrait cependant facilement trouver une place ailleurs (ou au pire en G-League).

ana de armasEnfin, pour une question de cohésion dans le groupe je vais transférer Alicia Vikander (nothing personnal)

Alicia-Vikander-01_iphone_1080x1920Contre Jessica Chastain.
Un vétéran connaissant toutes les ficelles du métier est toujours très utile dans un effectif, même sans avoir beaucoup de temps de jeu... voir Andre Iguodala

jessica chastain
J'ai la confiance du proprio. J'espère que les fans comprendront.

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9 mai 2022

Merci pour ce moment

Il y a quelques mois j'ai rencontré une jeune femme qui m'a plu. On a bien fait connaissance.
J'aimais bien être avec elle. Elle aussi aimait bien être avec moi. C'était assez paisible. Et -il est vrai- souvent alcoolisé.

J'aurais, je crois, vraiment pu envisager de faire un bout de chemin avec elle. Sans plan particulier. Mais il y avait de la place pour elle dans ma disposition psychologique actuelle.

Bon, ça ne se fera pas. Trop de pression pour elle, pour diverses raisons.

De mon point de vue, je trouve ça dommage. J'aime bien cette fille. Il y a un truc qui me touche chez elle.
Ce n'est pas grave, mais c'est dommage.

Et puis c'était rigolo, il y a 18 ans d'écart entre nous. C'est forcément source de blagues et de mises en perspectives awkward! Et moi, les blagues et les trucs awkward, vous savez que j'aime bien ça.

Quoi qu'il en soit, cette femme a toute mon affection et ma reconnaissance la plus authentique.

Je crois que vraiment que j'ai atteint une certaine plénitude là...

3 février 2021

Les grands entretiens LPQG... à suivre

Après les interviews "say it all" que j'avais mené à l'été 2018 auprès de moi-même et de Dieu j'ai dans les tuyaux deux nouveaux entretiens exclusifs susceptibles d'apporter un éclairage inédit à pas mal de questions brûlantes du moment. En effet, j'ai des contacts fiables qui sont en mesure de me permettre de rencontrer prochainement d'une part Hadolf Hitler et d'autre part ma bite. Mais il y a des réticences du côté du rédacteur en chef. Question de ligne éditoriale.
Pas facile de promouvoir la liberté d'expression à l'heure de #meetooshoah.

2 mai 2020

Top 5 des trucs dont je suis le plus fier dans la vie.

Sans ordre spécifique

- Mes 306 bornes à vélo le 24 août 2019 (devant mes 50 bornes en courant en 2014 ou 70 en marchant en 2018, car finies dans un bien meilleur état). L'harmonie physique/mental à son plus haut pour moi, grâce à une préparation adéquate et une grosse envie.


- Les albums réalisés avec Le Dissident. La vision, le projet, la réalisation.

- Ma relation avec la femme que j'aime depuis bientôt 6 ans. Relation d'autant plus remarquable qu'elle est tout de même atypique, même si de mon point de vue elle n'est pas vraiment surprenante. Je parle bien de la relation. La femme elle est exceptionnelle, évidemment.

- Les relations au sein de ma famille (parents et frères et soeur, et nièces). Pas de secrets (enfin, peut-être... mais dans ce cas là c'est moi qui suis mis à l'écart), de jalousies, de petites histoires à deux balles... Tout ça étant évidemment facilité par le fait que j'ai mainte fois affirmé que s'ils voulaient me léser sur des héritages, je ne dirais rien.
Ceci étant dit, c'est vrai que mon beau-frère change tout de même souvent de voiture...


- Ma philosophie ne s'inscrivant dans aucun courant existant. Pas d'école de pensée, pas de mentor. Et pas vraiment de détracteurs non-plus d'ailleurs. Avoir réussi à faire en sorte que plutôt que s'offusquer les gens se disent "c'est François Cann, c'est normal" (parce qu'il y a plein de trucs que j'écris qui paraissent être des conneries mais constituent cependant une part non négligeable des fondations de mon existence en terme de valeurs).

top5Puis, top 6 à 10: ma connaissance géographique dans la région de Plabennec, ma capacité à me situer avec fiabilité dans le temps et l'espace, ma capacité à identifier instantanément les gens qui racontent de la merde, ma fidélité au rap et à la NBA, ma bite.

26 avril 2020

Crise du Covid-19. Mon analyse.

Dans la situation économico-politico-démographico-sociale dans laquelle se trouvait le monde il y a 3 ou 4 mois, y avait-il moyen de mieux gérer à coup sûr la crise du coronavirus? Personne ne peut le dire. Et ceux qui disent le contraire ne sont pas crédibles deux secondes. Qu'il y ait eu des erreurs parfois grossières et quelques coups fourrés, j'en conviens, mais maîtriser une crise mondiale ayant des effets sur absolument tout, et tout le monde, forget it, il n'y a pas de manuel pour ça. Alors, oui, les "dirigeants" ont choisi d'être là où ils sont (en responsabilité), mais nous tous choisissons aussi de vivre comme nous vivons (faute d'avoir le courage de faire autrement, tout simplement... moi y compris), et avons donc tous -et ceux qui ont des enfants, encore plus- une responsabilité individuelle et collective dans la marche du monde. Et donc face à ce virus, aussi.

Après le confinement se pose donc la question de sa levée, évidemment. Et ça se révèle être encore plus bordélique que le confinement en lui même. Ça non-plus, il n'y avait certainement pas grand monde pour se poser la question il y a deux mois. L'idée générale traversant la société étant à terme de "revenir à la normale", "comme avant". Et c'est là que je donne mon avis. Car que le fait de vouloir retourner à la situation antérieure soit une bonne idée ou pas (ça l'est à court terme pour essayer de sauver des gens, et ça ne l'est pas du tout à moyen et long terme cf. crise écologique), la vraie question qu'il faut se poser c'est de savoir si c'est possible. Et j'ai tendance à penser que nous venons de descendre une première grosse marche vers un effondrement général du modèle de développement à l'oeuvre depuis deux siècles. En clair, il y a des trucs qui ne vont tout bonnement pas redémarrer comme avant, parce que la mécanique est cassée. Le transport aérien, le tourisme à l'autre bout du monde par exemple... Je le sens très très moyen.
Et des "trucs qui ne redémarrent pas", ce n'est pas juste une idée abstraite de quelque chose qui était et qui n'est plus, mais c'est très concrètement des gens qui n'ont plus de ressources, et qui doivent survivre. Des gens d'ici, pas loin. Mais aussi des gens de pays lointains. Et qu'est-ce qu'on fait quand on veut survivre? Et bien on se déplace là où on pense pouvoir survivre. Depuis toujours. Pour moi, l'enjeu majeur des années -décennies- à venir, ça va être clairement les mouvements de population (dans un monde à presque 8 milliards d'habitants). De l'Afrique vers l'Europe, de Paris vers la Bretagne, de Brest vers Bourg-Blanc. Pour manger hein, tout simplement. Pas pour islamiser absolument et ouvrir des kebabs.

Donc là, en cette fin de période de confinement, mis à part ceux qui vivent entassés à 6 dans 35 m2, celles et ceux qui se font tabasser par leurs maris ou leurs parents et ceux qui ont perdu quelqu'un du virus, chez beaucoup on est plutôt dans une période d'insousciance, on le sent bien. Et oui, après le 11 mai on va revoir des gens qu'on aime et on va pouvoir aller faire du vélo. Mais il va aussi falloir être prêt à être bien secoué. Car ce qui est devant nous ne ressemble en rien à ce qui est derrière, I'm telling you.

covid 19

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29 mars 2020

I'm a man of brain and dick

L'entreprise François Cann est clairement cogérée par mon cerveau et par ma bite. Et donc si je ne sais pas si on peut -ou s'il faut- distinguer l'oeuvre de l'artiste, dans mon cas il est évident qu'on ne peut pas distinguer le philosophe de sa bite. Les deux marchent main dans la main. Enfin, bite dans la main en l'occurence.

Vous n'imaginez pas le nombre de situations et de décisions où mon zgeg a -lourdement- fait pencher la balance d'un côté plutôt que d'un autre. Et pas forcément du côté des meilleures idées, ne nous y trompons pas (mais quand même loin du cas DSK, pas d'amalgames...). Et cela ne sert à rien de le combattre. Il faut en être conscient, l'accepter pour ce que c'est, et même idéalement en tirer une richesse en terme de "point de vue". Avec ma bite, je peux vous le dire, il est impossible pour moi de m'enfermer dans mes convictions et un mode de pensée rigide. Elle est toujours là pour me rappeler que cela ne vaut plus grand chose lorsque elle est en présence d'éléments stimulateurs. D'où la cogestion, donc: "bon, là on raconte des cochonneries le pantalon aux chevilles, la langue pendue et l'oeil qui vrille, mais dans le même temps... -ou plutôt après en fait- on dit un truc intelligent sur l'humilité, l'authenticité et la reconnaissance de l'individualité de chacun, ok". Mais ce n'est pas cloisonné. Ça transpire, dans un sens comme dans l'autre.


Bon, après je dis "ma bite", mais c'est vraiment par commodité. Car le centre décisionnel se situe tout de même plutôt au niveau du bas ventre, la bite n'en étant que le soldat en quelque sorte. Parce que parfois la bite, c'est juste de la mécanique: ça va fonctionner au top en terme de flux sanguin, visuellement ce sera très réussi hein, rien à dire, bel objet. Mais il n'y aura rien à en tirer si dans le bas ventre le coeur n'y est pas.

C'est pour ça que distinguer strictement le privé et l'intime du public, ça n'a pas forcément de sens pour tout le monde. Je ne serais pas le même François Cann sans ce qu'a à dire ma bite à son sujet. Et ce ne doit être un secret pour personne. Cette transparence, nous te la devons à toi lecteur.

brain and dick

5 mars 2020

François Cann is what you get

Les sujets à propos desquels je m'exprime en pensant être totalement légitime à le faire -et donc en étant crédible- ne sont pas très nombreux. En gros, il y a la distribution postale en milieu rural et en zones pavillonnaires du Léon, le rap américain, la NBA, le whisky écossais, les efforts physiques de moyenne à longue durée en solo, la décoration d'un salon et la qualité de la reconnaissance que j'ai vis à vis de mon être vivant préféré.
Tout le reste -le coronavirus, Polanski, les retraites, les meilleures méthodes de contraception, les meilleurs moteurs d'avion, les techniques de drague- je me positionne généralement plus prudemment.

Ah non, il y a quand même un autre petit truc dont je suis spécialiste, c'est l'évaluation de l'authenticité et de l'honnêteté d'une déclaration ou d'une attitude présentée -même implicitement- comme étant le fruit d'un cheminement intellectuel complexe (et devant donc être jugée à l'aune de celui-ci, normal). Et c'est vrai que par ce biais j'ai tout de même l'occasion d'aborder quelques grands thèmes plus généraux tels que le sens de la vie, la nature de l'Homme, le bien, le mal, Dieu, l'humilité et même la taille de ma bite. Et donc toujours en restant crédible, c'est la vigilance -mais aussi l'exigence- première.

Ceci étant dit, si on me demande ce que je pense de Christophe Castaner, bon, pour rigoler je vais tout de même dire un truc ou deux. Alors qu'il ne rentre dans aucun de mes champs de compétences. Non non, je vous assure, je ne vais même pas évaluer son authenticité et son honnêteté puisqu'il est évident que Christophe Castaner n'a jamais été engagé dans le moindre cheminement intellectuel complexe de toute sa vie.

spécialisteLà, évidemment je suis sur la gauche de la route, mais il n'y a aucun danger. Et je peux accéder à la boite aux lettres directement depuis la fenêtre de la voiture et ainsi éviter de me faire attaquer par le chien. Ici, moi -François Cann- je réalise et je valide solennellement la manoeuvre.

15 février 2020

Je l'aime vraiment beaucoup quand même

J'aime la femme que j'aime encore plus qu'avant. Mais si, avant, là, depuis 5 ans et demi...
Alors, à vrai dire, je ne peux pas le prouver. Je n'ai pas vraiment d'outils à ma disposition pour mesurer cela (si ce n'est les cadeaux que nous nous offrons mutuellement... l'aspect matériel, il ne faut pas le négliger, ce n'est pas totalement vide de sens). Et dire ça, qu'est-ce que ça dit de ce que j'ai pu dire ces dernières années? En faisais-je trop? Inventais-je? Manipulais-je...?
Bref, je ne sais pas... Le temps a installé une certaine normalité bienvenue dans notre relation qui, loin de lui faire perdre sa dynamique, y fait apparaître au contraire une vibration nouvelle source de grande satisfaction et d'enthousiasme mutuels. Cette femme absolument formidable présente bon nombre de qualités que j'aime trouver chez un individu, plus des trucs "surprises". Notamment en terme d'authenticité. I mean, elle se situe souvent au-delà de ce qu'il serait raisonnable d'attendre en tant que François Cann dans un monde aux ressources "finies" et parcouru de Macronistes et de Gilets Jaunes.


Je sais, tout cela n'est pas très explicite. Et mon intention n'est pas du tout d'écrire un truc mystérieux. Maintenant, je déteste les trucs mystérieux. Mais 1/ j'ai déjà parlé d'elle en termes dithyrambiques plein de fois, et 2/ elle, c'est la discrétion. N'est pas Isabelle Balkany qui veut, désolé.
Et puis 3/ si vous me lisez, c'est que vous me connaissez, et que vous la connaissez peut-être bien aussi, donc vous voyez au moins en partie ce que je veux dire. Au moins un peu, allez...

greffe-greffage-arbre

31 janvier 2020

Tout sur l'adultère

Les personnes en couple l'attendent depuis longtemps: mon petit guide pratique sur l'adultère.

Quand on trompe -ou a trompé- son conjoint, il ne faut pas nécessairement le dire, ni forcément le cacher absolument. Ça dépend des cas de figure.

1er cas: au sein du couple, la liberté en matière de sexe a été décrétée et établie à l'origine. Donc c'est un sujet, ou pas. Mais la liberté peut très bien s'occomoder du silence.

2ème cas: hop, on couche un coup avec quelqu'un d'autre. Ou alors de manière très très occasionnelle (une fois par an maxi, après le repas de fin d'année au boulot), avec différentes personnes à chaque fois. Là, silence radio de rigueur. Du moins, tant qu'on ne ramène pas de maladies à la maison. Inutile de créer un drame alors que ça n'a pas une signification énorme. Donc on le garde pour soi, de la même manière qu'on garde pour soi tout un tas d'autres trucs tout au long de sa vie.

3ème cas: on a une maîtresse ou un amant établi. Bon alors ici, il commence à y avoir vraiment tromperie et double vie. C'est nettement plus tendu. Il va falloir commencer à envisager de trancher. Et pas la bite de l'homme si possible.

4ème cas: on ne couche avec personne d'autre, mais on ne pense qu'à ça. Franchement, s'il y a moyen, faut y aller et voir ce que ça donne ensuite. Il ne faut pas se pourrir la santé à se retenir éternellement. Il sera suffisamment tôt ensuite pour analyser ce que ça signifie.

Bref, vous le voyez, encore fois beaucoup de liberté accordée aux uns et aux autres dans mon "ordre moral". Ne me remerciez pas, je suis là pour ça. Et je le fais à titre gracieux.

Adultère

3 décembre 2019

The world can collapse, it won't bring me down

Si l'éventualité forte (c'est bien moins une croyance qu'une lecture de paramètres chiffrés) de l'effondrement de notre société telle qu'on la connaît ne pèse pas à proprement parler sur mon moral, force est de constater qu'il m'est désormais tout de même difficile de me projeter dans autre chose qu'un futur radicalement différent de ce qui existe aujourd'hui. Et donc de vraiment m'enthousiasmer pour des trucs pas directement lier à l'obtention de nourriture et au maintien d'un minimum de confort et de sécurité.
Et ce que je me dis, c'est qu'il y a des chances que ce soit parti pour durer. Parce que la situation -que ça pête dans 5 ans ou dans 50 ans- elle ne va pas se stabiliser ou se régler toute seule. Qu'on le veuille ou non, le sujet va être là. Tout le temps.

Mais donc, comme je viens de le dire, ça n'a pas une influence néfaste sur mon moral. Notamment parce que je ne suis pas seul à penser à ça. C'est même une source d'intercations fortes et de stimulation intellectuelle importe. Que faire, comment, avec qui...?! Des questions pour l'instant assez fun. Bon, après, quand on y sera vraiment, ce sera peut-être moins fun... Quand la question de savoir qui sacrifier pour pouvoir nourrir les autres se posera, il y aura peut-être des tensions.
Et les intrus belliqueux hein, que faire des intrus belliqueux?! Parce que si l'entraide sera effectivement primordiale, il faut bien se dire qu'il y aura des gens qui n'auront pas du tout envie de s'entraider et qui seront là en mode pillage et dévastation. Il faut en être conscient, et ne pas le négliger. Je peux d'ailleurs déjà donner des profils, voire même des noms.

Du coup -pour vous situer mon état d'esprit- pour mes prochaines vacances je serais plus incité à envisager une thématique "permaculture, tissage et kung-fu" que "burgers, Mountain Dew et Nike Air" comme ça a pu être le cas par le passé par exemple.

kung_fu_in sallé gallé

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