Go the other route

Je n'ai jamais considéré l'économie comme une science. Please... Et je ne reparlerai même pas de la sociologie.

Je n'ai jamais considéré le vol de verres dans les bars comme étant vraiment du vol. Eh, hein, bon, voilà quoi...

Je n'ai jamais considéré la situation des uns et des autres comme pouvant être un frein à la reconnaissance (par moi) de leur nature. L'individu ueber alles.

Je n'ai jamais considéré les pubis féminins entièrement rasés comme étant particulièrement sexy. Oh, give me a break, you don't like hairs? Try pedophilia.

Je n'ai jamais considéré le vote comme un devoir. Encore une fois, je m'exprime -et participe au débat public- cent fois plus ici que n'importe quel "votant" assidu et... anonyme. La blague.

Je n'ai jamais considéré le fait d'avoir un éventuel pouvoir sur des gens n'ayant pas les mêmes "valeurs" que moi comme pouvant être la source de la moindre gratification intellectuelle. Ça n'a même strictement aucun intérêt d'un point de vue personnel.

Je n'ai jamais considéré la prison comme étant digne de l'humanité. Hors incarcération d'individus effectivement hors de contrôle et présentant un danger immédiat. Une des plus grosses faiblesses institutionnelles et morales des sociétés dites développées actuelles.

Je n'ai jamais considéré le pouvoir de la majorité absolument plus légitime qu'un autre. C'est simplement le moins exigeant en terme de vision et d'implication personnelle. Rien de bien glorieux.