Ma bite sur ton wall- Du bon usage de Facebook de 7 à 77 ans

Le concept de confidentialité sur le net en général, et sur Facebook en particulier, est chez moi à peu près aussi vide de sens que celui de dieu, mais également aussi intrigant que lorsqu'on me demande quel genre de rap j'écoute (ce à quoi je réponds en général: "celui avec des noirs"). Pour vous situer le degré de préoccupation que ça atteint chez moi quoi.
Ce qui fait que lorsque, régulièrement, les usagers de Facebook (qui -au passage- ne s'y sont pas inscrit sous la contrainte, a priori) se plaignent sur Facebook des failles dans les Privacy Settings (les paramètres de confidentialités -I guess- pour ceux qui se sont lâchement converti au Facebook en français), je reste dubitatif. Car voyez-vous, pour moi, être inscrit sur Facebook et réclamer la confidentialité, le respect de la vie privée voire même l'anonymat tant qu'on y est (allons-y), c'est un peu comme aller aux putes et s'émouvoir de l'exposition aux maladies vénériennes que cela engendre. Imaginez un peu le mec en pleine action en train de dire "putain, j'espère que t'es clean, il ne s'agirait pas que je ramène une merde à la maison", avant d'enchaîner joyeusement sur la position du poulpe. Voilà, il y a un moment où bon, il faut arrêter de déconner quand même. L'absurde, j'aime assez, mais quand ça devient récurrent, ça finit par lasser un peu. Regardez donc le cas Depardieu.