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La Planche Qui Grince
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16 janvier 2012

Daddy's home

Je ne sais pas si c'est la naissance de Blue Ivy Carter (j'ai toujours senti une vraie proximité entre moi et Jay-Z et Beyonce), une nouvelle maturité ou une lubie qui me passera comme mon envie de changer de frigo l'été dernier, toujours est-il que depuis quelques jours je sens monter en moi un intérêt nouveau vis à vis de l'éventualité d'avoir un enfant. Sans rire (ne négligeons pas le fait qu'à force de raconter des conneries, je finis par y croire vraiment). 

Alors cela n'a pas grand chose à voir avec le principe même d'avoir un enfant comme on a un chien ou un écran full HD (je ne comprends absolument pas "l'envie d'enfant" de certaines personnes... dont par exemple celle des homos qui justement, par principe, ne peuvent pas en avoir), mais c'est bien plus lié à l'idée d'être co-parent d'un être vivant avec la personne que j'aime le plus au monde (oui, je ne veux pas un enfant avec n'importe qui non-plus). I mean, that's deep! C'est la co-responsabilité technique qui m'intéresse, et qui me semble être source de grandes choses tant pour les parents que pour l'enfant. Pour le coup, là c'est la biologie qui prime! Et en plus ça me permet d'éviter de trop réfléchir aux questions d'éducation.
J'ai quasiment une approche bestiale (?... non?), animalière (?... toujours pas?), je sais pas, sanguinaire (sanguinolente?), de la chose. Enfin, en tout cas jamais je n'adopterai! Parce que imagine que tu adoptes, que t'es un père super, la mère aussi... Mais au bout du compte, ton enfant se révèle tout de même être un crétin fini (ça peut arriver, attention). Et en plus, pas beau. Tout simplement parce qu'il a des gènes à la con. Il y aurait de quoi être un peu frustré non? Alors que si t'es sûr du background génétique des parents, déjà le gamin sera beau, et si il devient tout de même un abruti, tu seras conscient de ta responsabilité là-dedans. Et tu pourras au moins t'en vouloir. Ce qui est mieux que la frustration comme sentiment, je vous assure.

Et puis le truc qui est bien avec un enfant, c'est que tu peux lui trouver un nom qui pète! Déjà pour commencer, tu lui donnes les deux noms des parents (les noms de famille composés, ça claque, ça fait journaliste juif ou économiste). Et puis à partir de là, tu vois ce qui colle le mieux comme prénom. Ça doit être original, harmonieux et impressionnant. C'est la seule règle. La génétique fera le reste, donc. No pression.

ps: Monica m'a dit "non, là sur ce sujet, je ne le sens pas. Tu vas vouloir des photos trop explicites". C'est qu'elle commence à me connaître! Désolé.

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