Old school

Je ne suis généralement pas du genre à faire barrage au progrès. Bien au contraire. Ainsi au fil des siècles j'ai accueilli avec bienveillance la maîtrise du feu par l'homme, l'invention de l'agriculture puis celle de la roue et enfin la généralisation de l'internet et du porno gratuit.
Mais il y a un truc moderne auquel je m'oppose, ou du moins que je refuse d'utiliser, c'est le GPS. Pour la simple et bonne raison que je revendique depuis toujours un certain talent à me repérer dans l'espace et à réussir à me rendre n'importe où par moi-même. Sans compter que, comme je le dis toujours, un (vrai) facteur ne se perd jamais. De plus, j'adore les plans et les cartes. Ce qui fait pour moi du GPS un truc carrément contre-nature. Ainsi, tenez le vous pour dit, je n'envisagerai d'utiliser un tel outil que le jour ou Rocco Siffredi se mettra au Viagra ou celui où Beyonce aura besoin d'un stimulant (ou juste d'un peu d'intimité, remarquez) pour se mettre à gigoter de façon énervante (lire "comme une grosse cochonne").