The laugh & the curse
Après avoir passé quelques années à mettre en avant, non sans un certain brio je vous l'accorde, mon intelligence et la taille de mon sexe, réussi -je le crois sincèrement- à faire naître autour de ces deux axes majeurs (et porteurs d'espoir) un véritable consensus au sein d'une population en manque cruel de repères (la crise... terrible), mais finalement constaté que malgré tout la "recherche" (ou plutôt l'"attraction") d'une copine semblait devoir pour moi être empreinte d'une malédiction tenace (je n'ai bien mis en avant que la taille de mon sexe...), je crois pouvoir dire que tout ce par quoi je suis désormais mû est la volonté de me marrer. Et si possible aussi de faire rire d'autres individus (voire même des filles; je ne suis pas rancunier).
Parce que je trouve que ça a vachement de valeur. C'est tellement mieux que tirer la tronche, franchement.
Et parce que si on me proposait de passer ma vie à rigoler, et toujours dans la mesure où il semble que l'éventualité de "passer ma vie à me faire sucer" (ma foi bien attrayante quand même), ne fasse pas partie des plans que Dieu a élaboré pour moi, et bien j'accepterais très certainement.
Et puis, quels combats reste t-il encore à mener sur cette planète maintenant que Burger King revient en France?
Hier, j'ai plus ou moins pleuré en regardant la séquence suivante (qui concluait l'heure de show). Bill Maher is in the building!!! Shout to all the funny men and women.