Read my -literally- fucking blog

Il est communément admis par tous ceux qui estiment avoir un avis critique sur ce qui les entoure que mettre en avant, pour créer de l'intérêt, un élément à caractère sexuel dans une "entreprise" ayant vocation à être exposée à un public (d'une manière ou d'une autre) n'est pas quelque chose de très glorieux, voire même est carrément "mal". Et on se demande bien pourquoi!
Franchement, c'est quoi le problème? Au pire, ça n'a aucun rapport avec le sujet. Mais c'est tout. Et c'est loin d'être suffisant pour en faire quelque chose de scandaleux. Pour le reste, on s'en tape. A la limite, ce que je peux critiquer, c'est de ne pas aller assez loin. Et d'attirer le chaland avec des trucs un peu "hot", mais pas trop quand même. Ça, oui, c'est nul. Parce que c'est ça qui entretient le discours des diverses, et auto-proclamées, autorités morales se sentant investies de la mission consistant à définir le bon goût et les bons usages du sexe!
Fuck that shit.