Love Fiasco 2: le retour de la mort qui tue
Ce qui était une menace il y a deux jours est devenu la réalité. J'ai (re)perdu la personne la plus géniale que je connaîtrai jamais et celle que j'ai le plus aimé.
Et si vous avez la moindre idée de celui que je suis, vous savez que toutes les déclarations à caractère définitif que je vais pouvoir faire à ce sujet vont se révéler être la vérité.
Je vais d'ailleurs commencer tout de suite en disant que la probabilité que je me remette de ça (ou que je "passe à autre chose" - seriously?- (oui, je sais, j'arrête pas de l'utiliser ce seriously, mais j'aime bien)) est encore moins élevée que celle de me voir un jour ne plus aimer le rap. Je peux pas faire plus explicite (ah si, peut-être "me voir un jour me syndiquer").
Quoi qu'il m'arrive, ça restera le pire.
Car une personne comme elle ne se remplace pas. Même si je suis le seul à le dire. Peut-être parce que je suis le seul à vraiment croire en elle.