Jamal Crawford

Putain, j'ai presque pleuré devant Grey's Anatomy (S02E27) hier. C'est bon ça. Ils sont vraiment forts ces bâtards. Non pas que je sois une machine insensible et que ce soit une performance en soi de me faire pleurer, pas du tout; mais je pense qu'ils ont réussi à faire exactement ceux qu'ils voulaient faire côté émotion et rendu dramatique. Un peu comme nous (moi et Le Dissident) à l'époque de "The Underground Railroad". On voulait faire un carnage, on avait bien l'impression d'en faire un pendant qu'on créait l'album, et au final c'en était effectivement un. De l'avis de tous. Il n'y a quand même pas grand chose qui ressemble à ça dans la vie. Surtout quand tout dépend de toi. Ce n'est pas de la chance, ça ne ressemble pas à du travail, ce n'est pas forcément du talent: c'est juste être "on fire" (reprise de la saison NBA oblige, yeah!) et avoir l'impression que l'univers a fait en sorte que tout s'accorde autour de toi pour que tes actions engendrent un truc pas loin de la perfection (dans la mesure où tu ne vois pas ce qui pourrait être changé pour rendre l'ensemble meilleur).
Donc là Grey's Anatomy, c'était brilliant (non, il n'y a pas de i en trop, c'est de l'anglais).

Speaking of which...