Kiss my ass good bye
J'ai l'impression qu'on m'encourage à ne plus en avoir rien à foutre de rien. Puisque lorsque je m'implique un petit peu dans quelque chose je n'en retire finalement rien. Enfin, rien qui puisse être considéré comme participant à un projet de vie ou à mon grand dessein qui est de chercher à montrer que beaucoup de choses sont accessibles à l'être humain via l'utilisation un peu poussée (ou optimisée) de son cerveau. Donc, mes couilles, si il ne faut plus rien attendre de ce que l'on fait de manière réfléchie et avec conviction, et bien soit: je vais me remettre à chier sur la moquette. Who cares? Quand les seules personnes en mesure de commencer à comprendre ce que je veux dire se désengagent et choisissent de ne plus vouloir être impliquées, et bien il est temps d'arrêter de se soucier de quoi que ce soit. Puisqu'au bout du compte ça ne changera rien. Ça ne veut pas dire que je vais me mettre à emmerder le monde, non. Mais ça veut dire qu'il n'est même plus utile de s'attendre à partager. Il est évident qu'il n'y a absolument personne qui peut aller où je veux aller avec moi. Donc, rien à foutre de rien. Je ne peux rien pour personne et personne ne peut rien pour moi. Il faut le savoir. Mais je ne vais pas pour autant cesser d'être moi en me dissolvant parmi les autres. Je vais être moi et ne même pas essayer de m'expliquer. Voilà.
Y'all can't, and don't wanna, fuck with me.