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La Planche Qui Grince
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13 janvier 2015

Dirty diet: road to freedom

J'adore l'impression de libération que l'on ressent lorsqu'on décide d'arrêter d'acheter et de consommer un produit alimentaire spécifique s'étant petit à petit, au fil des ans, transformé en source d'inquiétude et de contrariété. En l'occurence, moi, la dernière fois c'était le gruyère râpé. I was just sick of it! Je me suis dit: "quand j'en achète, je mets trois plombes à le finir, à la fin je me demande toujours si il est encore consommable, et les plats où j'en mets seront de toute façon aussi bons sans". S'en est suivi un soulagement profond. Même chose il y a quelques années avec la compote de pomme, le Madame Loïk ou encore les pizzas congelées et l'héroïne au petit déjeuner.

D'ailleurs, j'y pense, cette sensation n'est pas sans rappeler celle que l'on éprouve lorsqu'on décide de quitter sa femme ou son mari (et ses enfants). Free at last! Reprendre le contrôle de sa vie, et repenser un peu à soi. Enfin, c'est ce que je me suis laissé dire, bien sûr, puisque je ne suis pas très bien placé pour en parler. Moi, toutes mes petites amies ont -une fois enceintes- fini enterrées dans un bois. Sauf leurs dents. I told you, I have a teeth fetish.

teethBordel, matez moi cette dentition! Il semble évident que l'éventualité d'arrêter de manger du steak ne lui a à elle jamais traversé l'esprit.

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