Groundbreaking or nothing

J'imagine que la plupart des gens ne passent pas leur temps à évaluer la position qu'ils occupent ou estiment occuper dans la société. Mais moi, oui (évidemment). Et cette position que j'entends tenir, c'est ni plus ni moins que l'avant-garde en matière de libéralisme intellectuel, d'irréalisme politico-social et d'idéalisme crypto-humaniste. Sans déconner, c'est comme ça que je me vis. That's deep.

Et je peux vous dire que bien qu'étant naturellement enclin à mettre en doute tout ce qu'on me présente comme ne pouvant "pas être autrement" (notamment en matière d'interactions entre les humains, et entre les humains et leur environnement), je dois malgré tout veiller à entretenir sans relâche mon dynamisme sceptico-cynique. Good for me, j'aime ça.
Pour autant, cela nécessite tout de même de ne jamais abandonner à d'autres des sujets que mon expérience personnelle (parfois quasi-inexistante) pourrait me conduire à tout simplement négliger. Par exemple, des enfants, je n'en ai pas; mais ça ne m'empêche pas d'avoir mon mot à dire sur les allocations familiales. Les religieux, ils interfèrent assez peu avec mes envies; mais je leur tape quand même dessus. Des Roms, j'en croise jamais; mais j'estime quand même que ce sont des êtres humains indépendants. Aux goûts douteux, certes (Léonarda... What kind of name is that?!). Des pubis féminins (d'aucuns auraient dit chattes), j'en observe assez peu en vrai; pour autant mon opposition au rasage intégral (voire même simplement trop poussé) n'en est pas moins réel.

Bref, you get it, je me dois -pour tenir mon rang autant que pour le bien de la communauté- de confronter mon esprit à des thèmes aussi variés qu'éloignés de mon quotidien. Ce faisant, je l'aiguise (mon esprit) et le modèle pour toujours plus de réceptivité et de réactivité. And that, ladies and gentlemen, is the beauty of it all.
Et demain, un post sur mon nouveau cheval de bataille:
Le loup mangeur de moutons: mythes et contre-vérités. Ce que les bergers vous cachent.
Je vais balancer du lourd à en faire trembler la République.

Momo (dont on peut saluer le come-back) me permet de rester "focused". Elle incarne autant la limite à ne pas dépasser (mais c'est vraiment la limite basse) que l'exigeance de l'excellence qui est la mienne...

Comments

[Dirty Louisa]

Dans l'escalier pas de problème, je suis alerté par la planche qui grince.

[Nino Blanco]

Tu es un peu comme Patrick Edlinger.

Tu grimpes, tu grimpes car le danger n'est finalement que sous nos pieds.

Mais attention dans l'escalier...

Dernier conseil avisé.