Dirty as I wanna be

Comme beaucoup de gens, j'ai une réputation à tenir. C'est pourquoi je voudrais faire une mise au point.

Ce qui me préoccupe, c'est que certaines personnes puissent être amenées à penser que je passe parfois à côté d'une blague salace ou d'un propos graveleux par négligence, ou pire, perte de la flamme sacrée. Or, il n'en est rien. Ma sensibilité et ma réceptivité à tout ce qui permet de près ou de loin de faire une allusion à caractère sexuel sont absolument intactes. Mais voilà, guidé par la morale chrétienne et un sens de la bienséance aigu, je fais des choix. Et ceux-ci peuvent effectivement parfois me conduire à "ignorer" une opportunité qui s'offre à moi (comme une femme de chambre à DSK... alors, vous voyez!).

Le cas de figure s'est présenté pas plus tard qu'hier dans le post sur la petite fille géniale. En effet, lorsque pour évoquer le caractère extraordinaire de la maturité de la petite j'ai écrit "franchement, il faut le voir pour le croire et le mesurer", la logique eu voulu que je fasse suivre la phrase d'un "comme ma bite" entre parenthèses qui tombait sous le sens. Et pourtant, non... La bienséance je vous dis. Car quelle sorte de détraqué écrirait des choses pareilles dans un texte où il est question d'un enfant? Disgusting, right?! Non, vraiment, vaut mieux attendre le lendemain. Il y a un temps pour tout.

Bref, everything is fine with me. Je suis encore bien vigoureux et saisis la moindre perche sans le moindre signe de lassitude.
















Momo le confirmera, cet après-midi après la baignade, c'était pas le moment de mesurer quoi que ce soit.