Dirty wet horses

L'humidité ambiante qui règne depuis deux jours sur la région brestoise a des conséquences improbables.
Alors, passe encore que ma cage d'escalier sente l'écurie (réellement). Couplé à un verre de bon whisky fumé (du Lagavulin, par exemple), c'est loin d'être désagréable. Et puis le monde du cheval, ça me connaît: cela fait bien longtemps que j'ai appris à composer avec la possession d'attributs équins.

En revanche, que je me mette à friser, non! Où va nous?! C'est bien simple, il a fallu que j'aille emprunter le fer à lisser de ma nouvelle voisine. Très sympa, la voisine. Une belle âme, à n'en point douter. Je reste cependant dubitatif devant la fonction vibreur et tête pivotante de celui-ci. Je me demande si elle ne se serait pas faite avoir par un de ces télé-vendeurs à l'accent trop africain pour honnêtement s'appeler Xavier Bertrand (ce genre là quoi)...

Hmm, d'un coup j'ai un doute: elle avait dit la boite en haut à gauche ou à droite?
















Cohabiter en bonne intelligence, c'est important: jeune voisine nouvellement arrivée dans l'immeuble vis à vis de laquelle j'oeuvrerai sans relâche pour l'intégration à la communauté dans les meilleures conditions.